En 1990, la Marne connaît une vague de fusion : Champagne Céréales reprend douze coopératives. Il en reste alors quatre dans le Sud-Ouest du département. Quel a été votre rôle dans la redéfinition de ce paysage coopératif ?
Jean-Paul Louppe : La taille de nos coopératives –Efigrain à Anglure, la coopérative de Sézanne et La Champagne Coligny– était devenue un problème. Nos structures n’avaient plus les moyens d’aller seules vers une politique d’innovation et de développement. Et le rapport de force avec leurs fournisseurs, clients et autres partenaires, leurs concurrents aussi, devenait très défavorable. Les coopératives qui s’étaient restructurées quelques années auparavant, Nouricia et Champagne Céréales, étaient…
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