« Nous cherchions à créer et à sécuriser un vrai service commercialisation des productions au sein de Novagrain, note Jean-Paul Vinot. Jusqu’à son départ en retraite, c’est le directeur de l’union Novagrain, Patrick Mailliard, qui assurait aussi cette fonction. Difficile de concilier les deux… Mais délicat aussi d’allouer un temps plein à la commercialisation pour une structure collectant en moyenne 200000 t chaque campagne. Nous cherchions donc à créer et à pérenniser un service commercial en interne. Mais difficile de pérenniser un tel service s’il ne compte pas au moins deux personnes… » En parallèle, Novagrain souhaitait se différencier sur les marchés.
Massifier une offre à valeur ajoutée
À quelques…
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