Une action de Greenpeace devant le siège d’InVivo

Article réservé aux abonnés

Ce matin, 19 activistes de Greenpeace ont bloqué l’entrée principale du groupe InVivo à Paris avec un mur de bidons symbolisant des pesticides et ont déployé une banderole accusant Philippe Mangin et Thierry Blandinières d’être des « empoisonneurs ». Greenpeace, qui a choisi de faire de l’agriculture l’un de ses thèmes prioritaires de campagne dans les années à venir, demande ainsi à InVivo de « cesser immédiatement la vente des pesticides les plus dangereux pour la santé humaine » et de « réorienter totalement ses efforts de recherche et développement pour rendre accessibles au plus grand nombre d’agriculteurs les pratiques et solutions alternatives aux pesticides chimiques. »

Le Groupe InVivo a rapidement réagi sur Twitter : « Avec 300 fermes, nous sommes le 1er réseau dédié à la réduction des pesticides et de leurs impacts environnementaux. »

Pour sa part, le collectif Sauvons les fruits et légumes de France dénonce une « communication biaisée de Greenpeace » et rappelle qu’il a publié récemment une monographie prouvant que « les vrais problèmes de santé des agriculteurs ne résident pas dans l'emploi des produits phytosanitaires…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Coopératives et Négoces

actualites

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15