« Au début de la grève, c’était 75 à 100 % des trains programmés qui ont été annulés sur les 3 semaines de décembre », ajoute-t-elle. Les clients n’ont pas de stock et ils ne peuvent pas se permettre d’arrêter leurs usines. « Les coopératives ont donc travaillé en mode dégradé afin d’assurer leurs contrats », précise la directrice. Cela implique des coûts supplémentaires : les équipes ont notamment travaillé la nuit et les week-ends. « Il y a eu des reports d’activités des ports français vers les ports belges situés à proximité », remarque Antoine Hacard, président de La Coopération Agricole Métiers du grain.
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