Contrats d’apprentissage, levier de croissance

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L’investissement annuel dans deux contrats de professionnalisation est dérisoire pour Olivier Bidaut, directeur du négoce Asel. Il l’estime à 20 000 euros. Photo : Asel – Olivier Bidaut
Pour assurer une progression à deux chiffres de son entreprise, Olivier Bidaut mise sur la formation en contrat professionnel d’étudiants qu’il lance ensuite sur le terrain.

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« Si un technico-commercial est bon, c’est parce qu’il a derrière lui un bon chef de silo et un bon magasinier, souligne Olivier Bidaut, directeur du négoce Asel. Pour que l’équipe fonctionne, le technico-commercial doit parfaitement connaître ces autres postes. En passant par tous les postes de la société à son arrivée, il se confronte à leurs problématiques. Cela le rend meilleur. »


C’est en tout cas la conviction du gérant du négoce Asel, dont le chiffre d’affaires est passé de 2,3 millions d’euros en 2000 à 18,5 millions d’euros aujourd’hui.
Comme il est de plus en plus difficile de débaucher de bons technico-commerciaux, le directeur d’Asel a pris le parti de trouver de nouveaux bons hommes ailleurs. Il va les chercher dès le début de leurs études, en signant avec eux un contrat de professionnalisation.

Exergue n°434803
« Les écoles qui forment des contrats de professionnalisation ont du mal à trouver des entreprises pour leurs étudiants, explique Olivier Bidaut. En lien avec Ihedrea et…
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