Des conséquences sur la proximité territoriale

Article réservé aux abonnés

Le projet de séparation du conseil et de la vente de produits phyto pose beaucoup de questions. CP : DanBu.Berlin
 

Chez Terrena, le projet de séparation du conseil et de la vente de produits phyto pose des questions. Quatre scénarios ont été montés par la coopérative pour envisager la suite. Chez Cap Seine, les dirigeants s’inquiètent de l’impact négatif sur la compétitivité de la production alimentaire française.

 


Éric Barrière (à gauche), et Philippe Villain (à droite).
CP : O.Lévêque/Pixel image


Philippe Villain et Éric Barrière, président et directeur du territoire Poitou-Limousin de Terrena
Quatre scénarios étudiés
Le projet de séparation du conseil et de la vente de produits phyto pose beaucoup de questions. Quatre scénarios ont été montés par la coopérative pour envisager la suite, sans pour autant être dévoilés.
« Chez nous, c’est le conseil qui génère une vente, et non l’inverse. Nous développons, nous accompagnons et nous investissons dans les solutions alternatives, comme le biocontrôle, les associations de cultures, les choix des variétés ou les OAD, afin de réduire l’emploi de phyto, ce qui est notre objectif. Si la vente est faite par des plateformes en ligne, ces dernières risquent de vendre plus de phyto pour être rentables, et pas forcément les moins nocifs……
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

actualites

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15