1-« Utiliser 50 % des fonds de la PAC pour aider à la conversion des agriculteurs conventionnels vers une agriculture paysanne durable et bio. » (Hamon/Jadot)
Les avis sont unanimes : cette proposition n’est pas recevable. En tête des arguments : la bio ne peut pas nourrir la planète. « Je ne crois pas qu'il y ait un débouché pour une agriculture bio dans cette proportion. N'oublions pas que nous devons nourrir la planète », souligne un technico-commercial en grandes cultures. Pour d’autres, le bio n’a pas besoin d’aides. « Le développement du bio est porté par le marché et des prix élevés. Il n'est nul besoin de pervertir cette évolution saine par des subventions », estime un représentant de la filière arboriculture. « Si le bio est l'avenir de tous les mondes, alors…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?