« En monoculture de maïs, le principal marché est celui des herbicides, rappelle Philippe Péan, responsable du service agronomique de Maïsadour. C’est donc sur ce poste que le potentiel de réduction et de répartition des doses est le plus important. C’est pourquoi nous avons réfléchi dès 2016 en collaboration avec les équipes de BASF (dans le cadre de la Chaire AgroTIC de Bordeaux/Montpellier) à l’application de nouvelles technologies pour moduler les herbicides en culture de maïs. »
Dès 2017, un essai grandeur nature a été lancé sur deux parcelles d’agriculteurs respectivement de 5 et 10 ha afin de valider l’efficacité de la technique. L’idée n’est pas d’atteindre d’emblée le niveau ultime de la modulation intraparcellaire de dose grâce à un système sophistiqué de pulvérisation buse par buse. Au contraire, la démarche vise à utiliser le matériel présent sur l’exploitation du moment qu’il est capable d’assurer la coupure automatique…
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