L’heure est désormais au constat

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Les conséquences des intempéries sont à ce jour difficilement quantifiables, mais le risque sur le rendement et la qualité est prégnant. Photo : Ruzi - Fotolia
Fin mai, excès d’eau et inondations ont sévèrement touché, entre autres, les départements du Loir-et-Cher, Loiret, Seine-et-Marne, Yonne, Pas-de-Calais. Quelles conséquences pour les cultures ? S’il est trop tôt pour faire des pronostics, beaucoup de conditions sont d’ores et déjà réunies pour que rendement et qualité soient pénalisés.

Pour Maurice Caillaud, directeur collecte chez Unéal :

Exergue n°435714
« Les fortes pluies de la fin mai sont intervenues avant le début de la floraison du blé, les agriculteurs ont donc pu protéger leurs cultures contre le risque fusariose. En revanche, depuis le début de la semaine, toutes les conditions sont réunies pour susciter l’inquiétude : hausse marquée des températures, hygrométrie de 100%, orages… Pour le moment, le potentiel reste acquis en blé à condition que cela ne perdure pas ».


Plus au sud, dans le département de la Seine-et-Marne, sévèrement touché par les inondations, des parcelles se sont retrouvées complètement immergées.

Exergue n°435715
« Les conséquences ne sont pour l’heure, pas évidentes à déterminer, on y verra plus clair dans trois semaines, introduit Didier Garnier, directeur du pôle amont chez Val France. Mais concrètement,…
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