« La conjoncture a été compliquée dans l’amont agricole et l’agroalimentaire. Si on assiste à une embellie en production porcine, d’autres secteurs connaissent toujours des difficultés. La crise laitière ou la chute des cours des céréales ont eu des conséquences très fortes sur la santé financière des exploitations. En revanche, la partie œuf reste performante et la branche amont se stabilise. Et côté légumes, l’année a été assez bonne », a rappelé Serge Le Bartz, président du groupe basé à Theix (Morbihan). 2016 aura également été l'année du Brexit et l'événement a pesé sur les résultats le groupe. « La livre a dévissé de 17%. Cela a fait perdre des parts de marché en œufs et légumes. Au total, cela nous a coûté 3 millions d’euros sur l’exercice », a indiqué Alain Perrin, directeur général. Le groupe a travaillé sur la stabilisation des charges financières en fonctionnant en flux tirés, évitant les surstocks. Une gestion qui a permis de réduire…
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