Souvenez-vous, le 25 octobre dernier, le tribunal administratif de Rennes annule l’arrêté antipesticides pris par le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine. Ce vendredi 8 novembre, un autre tribunal administratif, celui de Cergy-Pontoise, a rendu deux ordonnances dans lesquelles le juge décide de ne pas suspendre des arrêtés similaires pris à Sceaux et Gennevilliers. Pour autant, cela ne clôt pas le débat de fond sur la validité de ces deux arrêtés.
Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a été saisi en référé par le préfet des Hauts-de-Seine pour obtenir l’annulation des deux arrêtés. Le référé, c’est le nom technique donné à ce qui est une procédure de l’urgence. Dans le premier temps de la procédure, le juge administratif n’a qu’un seul pouvoir : suspendre ou non un acte administratif dans l’attente d’une autre décision sur le fond. Ici, le juge de Cergy-Pontoise a décidé de ne pas suspendre les…
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