Définir sa raison d’être, trouver sa griffe, savoir mobiliser ses équipes : autant de conseils qu’a distillés Frank Schneider, ancien arbitre international, aux dirigeants venus l’écouter lors du congrès du Négoce centre-est au Groupama Stadium près de Lyon, le 4 avril.
Arbitrer un match de foot, c’est comme diriger une entreprise. Dans un monde qui évolue en permanence, les arbitres, comme les dirigeants, subissent des pressions de toutes parts. Des points communs que Franck Schneider s’est attaché à mettre en évidence durant son intervention devant les représentants du Négoce agricole.À commencer par la concurrence. « Nous sommes 20 arbitres en Ligue 1. Les 10 meilleurs vont à l’international. Les 10 derniers descendent en Ligue 2 et vont perdre 40 % de leur rémunération en moins de 15 jours. Tout le monde a donc le même objectif. »
Des arbitres qui doivent aussi composer avec les produits de substitution (la VAR, assistance vidéo à l’arbitrage) et les nouveaux…
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