Néalia souhaite implanter une usine de trituration du soja dans les Ardennes

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Au micro, Armand Barré, directeur général de Néalia, a confirmé la mise en place d’une usine qui triturera 25 000 tonnes de graines par an. Photo : A. Legendre/Terroir Est
Les travaux du projet Arpeege ont mis en évidence un potentiel bassin de production de soja sur les crêtes pré-ardennaises. Néalia a décidé d’y implanter une usine de trituration, qui devrait voir le jour fin 2023.

« Le non-OGM était au centre des réflexions qui ont donné naissance au PEI Arpeege », se souvient Antoine Henrion, agriculteur en Moselle et administrateur de Terres Inovia. Il faut dire qu’en Moselle, une partie du lait est vendue en Allemagne, très à cheval sur le non-OGM. L’approvisionnement en soja non OGM n’est pas toujours aisé, et très dépendant des fluctuations du marché mondial. Alors, pourquoi ne pas produire localement ? Avant de développer la culture du soja tous azimuts, les partenaires du projet Arpeege décident « d’objectiver le potentiel de production dans le Grand-Est, de produire des références solides et réalistes sur les rendements potentiels et leur variabilité », explique Aurore Baillet, ingénieure de développement pour Terres Inovia. De ce travail, naît une cartographie des zones plus ou moins propices à la culture du soja dans la région. « 350 000 hectares, soit 14 % des terres arables de la région, sont favorables…
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