Sébastien Rousselle

Trichogrammes : un potentiel important en vigne

Les responsables de Bioline AgroSciences, avec, de gauche à droite, Sébastien Rousselle, Philippe Hamelin et Ludwik Pokorny, ont présenté leurs objectifs de développement en maïs, vigne et blé. Photo : S.Bot/Pixel image

85000 hectares traités, c’est la surface de maïs qui reçoit des trichogrammes de Bioline AgroSciences. L’entreprise se lance sur le créneau de la vigne avec Tricholine Vitis. Les dirigeants espèrent développer ce marché pour lequel l’épandage de trichogrammes est une nouveauté.

Ces trichogrammes tombés du ciel

Avec une autonomie en énergie et en capsules d’environ 10 hectares, la capacité d’épandage journalière du drone est de l’ordre de 100 à 200 hectares. Photo : Biotop

Alternative à la pose manuelle dans les parcelles, l’épandage aérien de trichogrammes se développe en France. Après l’hélicoptère, deux nouvelles options s’offrent dorénavant à l’agriculteur : l’épandage par ULM et par drone.