La majorité des molécules phytosanitaires utilisées n'est pas détectée dans l'air

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Rampe de pulvérisateur

L'indicateur I-Phy qui a d'abord été créé pour noter le risque de transfert des molécules phytosanitaires dans l'eau arbore désormais un volet pour l'air. S'il est encore réservé aux initiés, un outil simplifié est en cours de réflexion.

Crédit photo Pixel6TM
L'association Générations futures n'est pas la seule à mettre en place des campagnes de mesure de la qualité de l'air. Le projet national RePP'air a croisé mesure des molécules phytosanitaires dans l'air avec pratiques agricoles, afin d'en apprendre davantage sur les relations potentielles entre les deux.
« La grande majorité des molécules pulvérisées dans le secteur où est présent le matériel de prélèvement des polluants de l’air n’est pas retrouvée dans les analyses de la qualité de l’air », informe Laetitia Prévost, chargée d’étude air-climat au sein de la chambre régionale d’agriculture du Grand Est et en charge du pilotage du projet national RePP’air.

Établir le lien entre pratiques de pulvérisation et concentrations dans l'air

D’une durée de 4 ans (de 2017 à 2020), le projet comptait 7 sites d’études, répartis dans 6 régions françaises.

Chaque campagne de prélèvement…
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