Des outils pour évaluer des phytostimulants

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Marie-France Corio-Costet, directrice de recherche au sein de l’unité Save d’Inrae. À droite, Essai de biostimulants sur des plants de cabernet sauvignon sous serre. Photos : E. Bodin- Inrae
Grâce au développement d’outils de biologie moléculaire, l’Inrae et ses partenaires réussissent à mieux comprendre les modes d’action des stimulateurs de défense des plantes et des biostimulants, qui peuvent alors mieux s’intégrer dans des stratégies au vignoble.

En vigne, des outils de biologie moléculaire ouvrent de nouvelles perspectives pour comprendre les modes d’action des phytostimulants et pour pouvoir ainsi les intégrer dans des stratégies réduisant l’usage des pesticides de synthèse. En début d’année, l’Inrae a en effet communiqué sur le développement d’une nouvelle méthode pour caractériser l’effet des phytostimulants sur la vigne à l’aide de puces de RT-qPCR à haut débit. Ces avancées, réalisées dans le cadre d’une thèse Cifre de l’unité Santé et agroécologie du vignoble (Save) d’Inrae Bordeaux, en collaboration notamment avec la société De Sangosse, font suite à une précédente thèse commencée en 2013.

95 gènes impliqués

Marie-France Corio-Costet, directrice de recherche au sein de l’unité Save, classe les phytostimulants dans deux catégories : les stimulateurs de défense des plantes (SDP) (des produits phytopharmaceutiques parfois classés comme produits de biocontrôle…
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