Les principaux défis de la filière étaient d’abord d’acheminer les semences chez les producteurs : « Sur ce point, à la mi-mars, une bonne partie des semences de cultures de printemps était déjà chez les agriculteurs, nos exports vers l’UE ont pu se faire aussi grâce au maintien des corridors routiers au niveau de l’UE. Les difficultés les plus importantes ont été l’acheminement vers les pays qui produisent en contre-saison à cause de la fermeture des lignes aériennes », détaille Claude Tabel. Ensuite, il a fallu assurer la sécurité du personnel : « Nos entreprises se sont organisées avec beaucoup de solidarité. Nous avons réussi à passer les difficultés. »
Toutefois, le secteur de l’ornemental, des plants et des semences potagères a été fortement impacté par la fermeture des jardineries. « Notre…
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