La filière semencière déstabilisée par la guerre en Ukraine

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« À date, on estime que 70% des semences de maïs et 75% des semences de tournesol ont pu être acheminées, mais rien ne garantit que les agriculteurs sur place seront en capacité de réaliser ces productions », indique Claude Tabel. Photo : pavlobaliukh
La Russie et l'Ukraine sont les deux premières destinations des semences françaises hors de l’Union européenne. L’UFS a tenu une conférence de presse le 14 avril dernier afin de faire le bilan des impacts actuels et à venir pour ses entreprises adhérentes.

Claude Tabel, président de l’UFS, a précisé que les entreprises et leurs filiales sont présentes sur le territoire ukrainien à travers les activités de recherche, production et distribution :

Exergue n°430019
« Ces activités conjuguées aux exportations représentent pour les entreprises françaises un chiffre d’affaires d’environ 400 000 millions d’euros (dont 100 millions d’euros pour l’export). »


Dès le début du conflit, toutes les activités ont cessé, et la priorité aura été de mettre en sécurité le personnel. 

Exergue n°430020
« Les familles ont été transférées à proximité des frontières de l’UE, mais le personnel masculin restait mobilisable, et certains de nos collaborateurs ont dû partir au front », témoigne Claude Tabel, par ailleurs président du directoire du groupe RAGT.


Mais depuis quelques jours, l’activité a repris, tant bien que mal.

Exergue n°430021
« En général, les livraisons de semences se font…
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