Une sauvegarde récente a alors été remontée. « Il s’est avéré au bout de quelques jours que quelques fichiers étaient cryptés, l’attaque avait démarré plus tôt que ce que nous pensions », ajoute-t-il. Une sauvegarde plus vielle de trois mois a été déployée. La coopérative a donc été impactée pendant trois mois sur une petite partie de son activité. « Cela nous oblige à nous dire que cela peut arriver de nouveau et à nous interroger sur comment redémarrer », souligne Christian Cordonnier.
Une demande de rançon avait été exigée par les malfrats de l’ordre de 500000 dollars. Somme que Terre Atlantique n’a pas payée. Elle a été aidée par la Gendarmerie et une plainte…
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