Les solutions alternatives aux produits phyto existent, mais elles sont peu utilisées... Selon les données de l’observatoire de l’usage de l’agriculture numérique mis en place depuis trois ans par Agrotic, une institution de formation à l’interface de l’agriculture et du numérique, moins de 10 % d’agriculteurs qui possèdent un outil de télédétection pratiquent réellement les modulations intraparcellaires. Comment favoriser ces techniques ou d'autres solutions innovantes ? La question taraude de nombreux prescripteurs (ainsi que les pouvoirs publics). Lors d’une journée dédiée aux conseils inhérents aux solutions alternatives aux phyto et organisée à Angers par Végépolys Valley, Jean-Marc Meynard, directeur de recherche à l’Inra, s'est dit peu optimiste.
Exergue n°432174
« La diffusion de solutions alternatives bute sur les stratégies et sur l’organisation des acteurs de l’amont et de l’aval. Les systèmes…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?