Exergue n°435344
« Une infrastructure comme la nôtre se doit de servir la compétitivité des entreprises installées sur nos quais ou à proximité », souligne Jacques Kopff, directeur de la Société des ports de Moselle.
Or, les entreprises présentes sont principalement agricoles. En effet, 80% du trafic correspond au transport de céréales. Le monde agricole s’est rapidement emparé de l’outil que représente le port de Metz dès lors que la sidérurgie a décliné à la fin des années 1960. Les coopératives agricoles profitent depuis des flux amont de matières pour recharger les cales vides de céréales et ainsi créer un relatif équilibre en générant des flux aval.
Alors que les investissements de la Société des ports
de Moselle ont déjà permis d’attirer suffisamment de cales
pour assurer 10% du trafic céréalier, Jacques Kopff
espère que ce ratio passera rapidement à 30 ou 40%.
Photo : Société des ports de Moselle
Les ports de Moselle…
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