La valeur ajoutée est économique et technique

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Étienne Regost, responsable des stations de semences Unéal et Gilles François, directeur de production à Semences de France. © Unéal et Semences de France
Un métier de spécialistes, voilà comment pourrait être résumé la production de semences hybrides. Pour se développer, elles doivent frôler l’excellence. Et pour leurs producteurs, l’enjeu est avant tout financier.

 

«Le colza hybride a mis du temps avant de s’imposer en France. En céréales, l’orge hybride présente un réel intérêt agronomique et économique notamment sur notre territoire. Tandis que le blé hybride, avec ses 3 % de parts de marché, interpelle par ses progrès constants », souligne Étienne Regost, responsable des stations de semences Unéal.

De son côté, Gilles François, directeur de production à Semences de France, indique : « Pour que les hybrides se développent, le marché doit être en mesure de les valoriser. Pour cette raison, ils doivent apporter une valeur différenciante par rapport aux variétés autogames. Que ce soit par leur conduite culturale moins gourmande en intrants ou par leur valorisation aval avec des variétés plus qualitatives. Sur ces deux facettes, les céréales hybrides ont un avantage majeur par rapport aux variétés autogames : il est plus rapide d’améliorer un caractère précis sans incidence majeure sur les autres par rapport à un schéma…
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