Davantage d'autonomie avec les PSN

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Les États membres demandent que le principe de subsidiarité s’applique davantage afin de ne pas dépendre de la bureaucratie européenne. Photo : vander84 / Adobe Stock
Le pacte vert de l’Union européenne entraînerait une perte de la production européenne et une baisse de ses exportations. Alors que la population mondiale augmenterait de 2,2 milliards d’habitants en 2050, demandant + 49 % de nourriture, l'inquiétude demeure : qui va s’en charger et à quel prix ? Quelle sera la place pour les agriculteurs européens ?

Les États membres ont dû rendre leur plan stratégique national (PSN) fin décembre. La prochaine échéance est l’entrée en vigueur de la future réforme de la PAC au 1er janvier prochain. Thierry Pouch, économiste et responsable du service études, références et prospective à l’APCA, détaille les principales différences entre cette nouvelle réforme et les précédentes : « Celle de 1992 est considérée comme le premier grand point de rupture de la PAC, car elle enclenche une dynamique de baisse des prix d’intervention, qui sera suivie d’une remise en cause des restitutions aux exportations, et, ensuite, d’un découplage des aides. Celle de 1975 a amené la taxe de coresponsabilité, et celle de 1984 les quotas laitiers afin de produire moins. Les outils d’intervention sont une entorse significative…
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