Une ouverture du champ des possibles

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FieldView est un nouvel outil permettant de collecter et d’analyser de nombreuses couches de données sur les parcelles. Photo : Bayer
Les entreprises de protection des plantes se sont emparées des technologies numériques. Et projettent de continuer à investir. Que faut-il en attendre ? Exemples en France.

Dix milliards d’euros : c’est le montant que les industries de protection des plantes ont annoncé vouloir investir d’ici 2030 dans les technologies numériques, à travers leur association européenne Crop Life Europe. Une somme conséquente. Avec un objectif global : réduire l’impact de l’agriculture sur l’environnement en luttant contre les agresseurs des cultures de manière plus ciblée. Vaste programme. En France, les entreprises ont déjà commencé à investir le digital, pour apporter des services autour de leurs produits, avec les OAD. Elles vont continuer, notamment en se positionnant sur les big data, ouvrant le champ des possibles.

Chez Bayer, par exemple, les investissements sont centrés sur Movida et FieldView. Le premier est un OAD utilisé en viticulture depuis 2010, pour positionner les traitements anti-mildiou et anti-oïdium. Le second, plus récent, est une plateforme d’agrégation de données, sur laquelle peuvent se greffer des OAD.


 « Avoir de la donnée en quasi-temps réel
sur le déroulement…
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