Plusieurs députés ont pourtant proposé de supprimer purement et simplement cet article. Le député Jean Lassalle a attaqué la forme. Il a indiqué que gouverner par ordonnance supprimerait le lien de proximité entre les parlementaires et l’agriculture. Certains se sont prononcés sur le fond, contre le principe de la séparation de la vente et du conseil « compliqué à financer et à mettre en place », voulant laisser les filières se charger de la réduction de l’usage des produits phytos. D’autres, enfin, ont marqué leur préférence pour une séparation de la facturation de la vente et du conseil par rapport à la séparation capitalistique des structures.
Un amendement…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?