Les plus gros utilisateurs sont les plus concernés

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« Les produits les plus chers et qui sont utilisés à faible dose (principalement insecticides) ont tendance à être plus contrefaits que les produits à doses d’utilisation plus élevées ou les produits à faible coût par litre », indique Hans-Joachim Henn, directeur de la lutte contre la contrefaçon au niveau mondial chez Bayer. © Bayer CropScience
Comme les produits de consommation usuels, les produits phytosanitaires sont concernés par la contrefaçon. Au-delà des pertes que cela peut engendrer pour les acteurs du marché, c’est surtout le risque pour les utilisateurs et pour l’environnement dont il est essentiel de tenir compte. Sans compter que l’efficacité n’est pas forcément au rendez-vous.

 

La valeur des échanges internationaux de marchandises contrefaites ou piratées en 2013 a été estimée à 338 milliards d’euros selon une étude conjointe de l’Observatoire européen des atteintes aux droits de propriété intellectuelle et de l’organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publiée en 2016. Ce qui représente 2,5 % du commerce mondial. Selon une étude de l’Unicri (Institut interrégional de recherche des Nations Unies sur la criminalité et la justice), « les produits de protection des plantes contrefaits ou illégaux représentent environ 12 à 15 % du marché mondial de la protection des cultures, souligne Hans-Joachim Henn, directeur de la lutte contre la contrefaçon au niveau mondial chez Bayer. Ce qui équivaut à une valeur d’environ 5 milliards d’euros par an ».

D’après…
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