L’érucique, une niche pour le colza

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En tant qu’alternative aux dérivés pétroliers pour la cosmétique, pour les emballages ou pour les lubrifiants, le colza érucique a une carte à jouer. La culture semble cependant encore restreinte à une niche, que la filière oléagineuse française aimerait bien voir s’accroître.

Avec des volumes de biodiesel de colza incorporés en baisse et une fiscalité régulièrement remise en question, les biocarburants ont souffert du Covid-19 et de l’effondrement des prix du pétrole. Même si 1,1 million d’hectares de colza sont cultivés en France en 2020 et sont valorisés en huile alimentaire pour un tiers, et en biodiesel pour deux tiers, avec des tourteaux riches en protéines pour l’élevage, la filière espère voir émerger de nouveaux débouchés. « En 2020, nous allons créer un groupe de travail autour de la chimie du végétal qui s’intéressera notamment aux petites filières de valorisation, souvent régionales, permettant de trouver de nouveaux débouchés, plus intéressant économiquement, comme pour la cameline ou le colza érucique », indique Nicolas Delaye, chargé de mission valorisations non alimentaires à l’interprofession Terres Univia. Il y a une quarantaine d’années, les colzas cultivés en France…
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