Une concurrence de plus en plus forte sur le jardin

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D’ici 2025, InVivo Retail vise un chiffre d’affaires réparti à hauteur de 40 % pour le jardin au sens large, de 30 % pour l’animalerie et de 30 % pour l’alimentaire. © InVivo Retail
Alors que les jardineries étaient jusqu’à présent leaders sur le secteur du jardin, un certain nombre d’acteurs se positionnent sur ce marché. Pour répondre à cette concurrence, la diversification se profile comme une solution.

 

«La distribution verte classique se place aujourd’hui dans un contexte concurrentiel important, de nombreux marchés sont challengés », analyse Guillaume Darrasse, directeur général d’InVivo Retail. Parmi ces nouveaux venus, il cite les pure players Web « qui captent un pan de croissance sur un marché de la jardinerie plutôt “flat”1 ». Dans les faits, ce sont des acteurs type Amazon qui ont une force de frappe sur le petit outillage. Un aspect renforcé par l’interdiction de la vente de produits phytosanitaires aux particuliers. « N’importe quel consommateur peut acheter sur Internet des produits interdits à la vente dans nos magasins », regrette-t-il. Un autre concurrent direct est incarné par les grandes et moyennes surfaces (GMS). Pour Guillaume Darrasse, certains magasins vont chercher à palier, sur le rayon jardin, les baisses de marché qu’ils peuvent avoir sur les secteurs non alimentaires.

Au-delà des GMS, les grandes surfaces spécialisées…
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