Une question d’opportunité

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Les maïs ultra-précoces produisent de 7 à 12 tonnes de matières sèches en 120 jours selon KWS. Photo : KWS
Entre deux cultures, le choix de semer du maïs ultra-précoce en juillet a un intérêt certain pour les éleveurs et pour les producteurs d’énergie verte. Explication.

La génétique permet de créer des variétés adaptées à nos régions septentrionales. La preuve ! Le maïs ultra-précoce, dont les indices sont inférieurs à 180, peut être implanté en juillet pour une culture en maïs fourrage ou en tant qu’intermédiaire pour l’énergie. En toute logique, ces maïs peuvent être semés après une récolte de céréales. Mais certaines conditions doivent être remplies pour réussir. La variété est choisie de façon à ce que la somme de températures cumulées entre le semis et la récolte soit comprise, au minimum, entre 1 200-1 300 °C. 

L’offre variétale a tendance à s’étoffer. KWS, par exemple, qui travaille sur ce créneau depuis 25 ans en Europe, et depuis 2012 en France, va sortir sa cinquième variété : Cito KWS d’indice 150¹. Plantes gélives, ces maïs devront être récoltés avant la fin octobre dans l’Est de la France et avant mi-novembre dans l’Ouest. Le semis s’effectue impérativement moins de 24 heures après la récolte précédente pour bénéficier de l’humidité résiduaire de la parcelle.…
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