Avec le changement climatique (+3 °C d’ici 2100 selon un scénario de l’Agence européenne pour l’environnement), la dynamique des besoins en eau du maïs va évoluer.
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« Les besoins seront plus importants et plus précoces. C’est une autre dynamique à gérer et à intégrer par les producteurs », souligne le responsable.
Dans cette situation, il préconise de mettre en œuvre la stratégie d’esquive, en semant plus précocement les variétés. Cette stratégie s’accompagne également de la sélection de variétés tolérantes au froid.
Dans un contexte de « pression sociétale » autour de l’irrigation du maïs, Gilles Espagnol a expliqué qu’il fallait lutter contre certaines idées reçues :
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« Le maïs est une des céréales qui nécessite le moins d’eau pour fabriquer un kg de grain. Le niveau zéro en consommation d’eau n’existe pas : l’évapo transpiration potentielle (ETP) du gazon annuelle est…
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