Éradiquer les transferts inutiles

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Si des difficultés rendent le transport ferroviaire des céréales plus délicat pour les organismes stockeurs, leur volonté est toutefois de préserver ce mode d’expédition durable.
Malgré leur éloignement des ports d’exportation, les organismes stockeurs champardennais maintiennent des coûts logistiques tout à fait corrects. Le tissu industriel régional, la possibilité d’utiliser la route, le fer et les voies navigables ainsi que la recherche de solutions pour éviter les transports superflus y contribuent.

Par sa situation géographique, la Champagne-Ardenne n’est pas la région la mieux placée pour l’acheminement des céréales vers les ports d’exportation. Cette difficulté a été rapidement prise en compte par les opérateurs régionaux qui ont initié la construction d’un tissu industriel local important afin de consommer les récoltes sur place. Cette évolution des outils de transformation régionaux a changé la donne et amélioré de manière significative l’efficacité logistique des opérateurs régionaux. « La référence marne à toute son importance désormais dans nos décisions », souligne Patrick Maillard, directeur des ventes au sein de Novagrain et directeur de la coopérative La Champagne de Coligny. D’ailleurs, le groupe coopératif Vivescia privilégie l’approvisionnement des usines présentes sur son territoire. Cela représente 35 à 40 % de la collecte…
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