Les protéagineux bio sur la sellette ?

Article réservé aux abonnés

Au 1er janvier 2021, le nouveau règlement européen imposera le passage au 100 % bio dans l’alimentation animale, actant la fin des 5 % d’ingrédients non bio possibles jusque-là, le plus souvent très concentrés en protéines. Terres Univia s’inquiète de ce changement, qui pourra avoir des conséquences fortes sur l’emploi de protéagineux bruts locaux dans les formulations d’aliment.

Exergue n°438635
« Cela risque d’entraîner un recours accru aux tourteaux majoritairement importés, plus riches en protéines, afin de garantir un apport protéique suffisant dans les rations, prévient Emmanuel Leveugle, président du groupe bio grandes cultures des interprofessions Intercéréales et Terres Univia.. Les cultures de pois et de féveroles, intéressantes dans les rotations bio, qui avaient trouvé jusque-là un équilibre dans les systèmes, risquent d’être délaissées au profit du soja d’importation… »


Les OS sont donc amenés à anticiper le plus tôt possible les volumes bio et C2 qu’ils collecteront en fin de campagne.
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

actualites

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15