Vers une augmentation du prix des semences ?

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L’interdiction des néonicotinoïdes entraînera une augmentation  de l’apport d’intrants à la parcelle. Photo : L.Theeten / Pixel image
L’interdiction des néonicotinoïdes aura des répercussions techniques et financières pour les agriculteurs. Outre l’impact sur le prix des semences, l’interdiction leur enlève un outil très utilisé. Le retour inévitable aux traitements foliaires engendre des problématiques écologiques et financières dont les agriculteurs se seraient bien passés.

1,3 million d’hectares d’orge d’hiver sont potentiellement remis en cause par l’interdiction des néonicotinoïdes. Le 22 juin 2016, les députés ont adopté l’article 125 de la loi sur la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages. Cet article entre en vigueur à partir du 1er septembre 2018. Il engendrera l’interdiction complète des néonicotinoïdes, que ce soit en traitement de semences, en pulvérisation foliaire ou en traitement du sol.


« Les semenciers travaillent à la recherche de solutions
génétiques alternatives efficaces », explique Sophie Lejealle,
directrice technique à l’UFS. Photo : S.Lejealle / UFS


Pour Sophie Lejealle, directrice technique à l’UFS, cette interdiction va « impacter essentiellement les céréales d’hiver et les betteraves, pour lesquelles le moratoire européen sur l’utilisation de l’imidaclopride,…
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