Mieux comprendre pour mieux limiter les transferts de produits phytosanitaires

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"Il faut revenir à des paysages agricoles résilients. Cela passe, entre autres, par l’aménagement d’éléments tampons", plaide Julien Tournebize, ingénieur à  l’Irstea. © Fotolia
La ville de Nancy a accueilli, du 15 au 18 mai, le 47e congrès du Groupe français des pesticides, co-organisé, pour la première fois, par les chambres d’agriculture. En clôture de ces journées, une table ronde a réuni des experts de différentes structures autour du thème de la limitation des impacts des pesticides.

La table ronde s’est articulée autour de quatre grandes questions. Comment limiter les transferts et maintenir une production satisfaisante ?  Comment limiter les impacts environnementaux et humains ? Quels sont les facteurs socio-économiques et les moteurs d’action pour réduire les impacts des pesticides ? Quelle stratégie adopter pour le suivi des pesticides ?

Pour des paysages agricoles plus résilients

Les agriculteurs ont aujourd’hui pour seule obligation de diminuer leur IFT. Certains groupes ont toutefois choisi de travailler, de façon volontaire, sur la limitation des transferts.

Exergue n°434282
La réduction des usages ne se transforme pas en réduction des transferts de façon linéaire. Sur les zones à enjeux, il ne faut pas des systèmes à bas niveau d’intrants mais à bas niveau d’impact. Il faut des stratégies plus ambitieuses, pointe…
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