« Comment nous nous sommes adaptés au développement du bio »

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Bertrand Relave (Eurea) et Jean-Charles Cizeron (Cizeron bio) ont mis en place une organisation spécifique pour satisfaire leurs adhérents et clients bio. Photo : I.Aubert/Pixel image
Si le groupe Eurea côtoie l’agriculture biologique depuis longtemps, cette activité représente aujourd’hui 15% de son chiffre d’affaires, soit 40 millions d’euros. Un développement qui a nécessité quelques adaptations, car deux problèmes se posaient : comment approvisionner les exploitations qui se convertissaient en bio, avec des demandes spécifiques mais des volumes parfois faibles. Par ailleurs, comment capter des céréales régionales pour organiser un circuit le plus court possible.

« Nous avons essayé de construire une filière à trois opérateurs », résume Bertrand Relave, directeur du groupe coopératif qui rayonne sur la Loire et la Haute-Loire. Avec le fabricant d’aliment du bétail Cizeron bio (certifié depuis 1973) et la minoterie Dupuy-Couturier, dont 60% de l’activité sont en bio, le groupe Eurea a créé Bioagri en 2010-2011, qui emploie quatre personnes actuellement.

Exergue n°435249
« Nous collectons 100% de céréales bio, nous vendons l’approvisionnement agricole, mais surtout, nous réalisons des expérimentations pour un suivi individuel des agriculteurs, indique son responsable Jean-Louis Mosnier. En effet, nous nous sommes rapidement aperçus…
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