Depuis deux ans, l’activité collecte des céréales connaît des difficultés. Les dirigeants des coopératives et des négoces doivent donc trouver des leviers pour aller mieux. De plus, quand la structure n’est pas située dans une grande zone céréalière, où le potentiel des terres ne permet pas des rendements supérieurs à 70 quintaux en blé, il faut réagir pour être toujours là demain. Quelles sont les pistes pour retrouver de la valeur ajoutée dans le métier et ainsi permettre aux agriculteurs de vivre de leur métier ?
Maryline Filippi, professeur d’économie à l’université
de Bordeaux et chercheuse associée à l’Inra :
« L’économie circulaire davantage tournée vers les circuits
courts et le territoire permet aux plus petites structures
de prospérer sans grandir en taille. »
L’une des pistes évoquées par Maryline Filippi, professeur d’économie à l’université de Bordeaux et chercheuse associée à l’Inra, est de passer de collecteur metteur…
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