Plus de technicité pour des résultats plus aléatoires

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La betterave est la culture qui devrait le plus pâtir de la fin des néonicotinoïdes. CP : R. Rapp/Pixel image

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Brutale, la fin des néonicotinoïdes en betterave va compliquer fortement la lutte contre les insectes ravageurs de la culture. Elle frôle l’impasse technique pour la campagne qui arrive à moins que son salut vienne d’une extension d’homologation.

« En 2018, 98 % des enrobages de semences de betterave contenaient des néonicotinoïdes, évalue d’emblée Vincent Laudinat, directeur général de l’Institut technique de la betterave (ITB). Soit ils contenaient 90 g/ha d’imidaclopride ou 60 g/ha de thiamethoxame qui permettaient de lutter efficacement contre les insectes ravageurs et particulièrement les pucerons verts. » « Un traitement de semences dont la dose à l’hectare représentait l’équivalent de six colliers anti-puce pour chien, compare Olivier Bidaut, directeur du négoce Asel. La fin des néonicotinoïdes en traitement de semences betteraves va immanquablement induire une augmentation des IFT. Demain, il faudra le remplacer par deux ou trois interventions insecticides aériennes dont l’efficacité risque d’être bien moindre. » Qui dit efficacité…
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