Sécuriser l’émergence des cultures avec de l’engrais liquide

Article réservé aux abonnés

La fertilisation liquide localisée sécurise la mise en place de la culture et son potentiel. À gauche, tournesol avec apport d’engrais liquide 14-48, à droite sans apport localisé au semis. Photo : AGRO D’OC
Avec la démocratisation des semoirs aux multiples trémies, la fertilisation localisée au semis fait de plus en plus d’émules. Mais alors, faut-il opter pour de la fertilisation solide ou liquide ?

«Localisé dans la ligne de semis, l’engrais liquide a un effet incontestable sur la vigueur de la culture, note d’emblée Fabien Decamps, ingénieur conseil chez Agro d’Oc, union des Ceta d’Oc. C’est surtout l’élément phosphore qui, dans un premier temps, en l’apportant au plus près des besoins de la plante, produit un effet "booster" dès son émergence. L’azote joue également un rôle important, mais dans une moindre mesure que le phosphore, au regard des doses appliquées qui restent assez faibles (35 l/ha d’engrais 14-48 sur tournesol ou colza et 50 l/ha sur maïs). Par cette pratique, nous estimons qu’un apport de phosphore réduit de moitié par rapport à la dose appliquée en plein est tout aussi efficace. » La concentration de l’élément phosphore au plus près des graines et la meilleure efficience de l’ammonium polyphosphate (APP – 10-34 aussi connu comme 14-48) explique sans aucun doute les résultats observés. D’ailleurs, « nous avons mesuré des gains…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

actualites

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15