Des apports au plus proche des semences

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L’azote, le phosphore et le soufre sont les éléments principaux à localiser, d’après Marc Lambert, responsable agronomie chez Yara France. Photo : M.Lecourtier/Média&Agriculture
Avec le déploiement du semis direct, la fertilisation localisée est de plus en plus pratiquée, y compris en cultures d’automne. Si les engrais sont disponibles sur le marché, le frein réside davantage dans le manque de matériel adapté pour les apports.

Sur la fertilisation localisée, la demande a tendance à croître, observe Philippe Camus, chef marché nutrition des plantes chez Actura. « Nous sommes de plus en plus sur une fertilisation pointue, avec des apports au plus proche de la semence. Donner de la vigueur à la plante dès le départ est d’autant plus important dans la période actuelle où les outils de protection des semences se font rares. C’est vrai en maïs, mais aussi sur les cultures d’automne désormais, en colza et en blé. »


« Sur les nouveaux éléments fertilisants, il est
nécessaire d’avoir les connaissances
pour éviter de brûler les germes
en fertilisation localisée », estime
Philippe Camus, chef marché nutrition
des plantes chez Actura. Photo : Actura


Avec des itinéraires techniques limitant le travail du sol, on obtient « un retard à l’allumage qui impose de compenser le manque de minéralisation par la localisation d’éléments fertilisants »,…
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