Travailler sur le gluten

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Pour répondre le mieux possible aux demandes, il est préconisé d’aller à la rencontre des clients dans leur pays, de visiter leur moulin et leur semoulerie. © Brimeux/Adobe Stock
Le taux de protéines reste le point faible des exportations françaises de grains à l’international. Si toute la filière y travaille, c’est plus précisément sur l’aspect gluten qu’il faut maintenant concentrer les efforts afin de répondre à la demande des clients.

 

Sur le marché du grand export céréales, la production nationale des agriculteurs n’est pas toujours compatible avec les critères d’achats des clients internationaux. Il revient alors aux organismes stockeurs et aux entreprises et coopératives exportatrices de faire correspondre l’offre et la demande. En parallèle, il est primordial de faire baisser les exigences internationales à l’échelon production. « C’est un travail de longue haleine. Le temps de l’agriculteur est plus long que celui du marché. Parfois, on nous dit “Je veux un peu plus de gluten”. Le délai pour faire remonter l’information correspond à une année de campagne », témoigne Christelle Tailhardat, Grain trader chez Grains Overseas, filiale d’InVivo créée en partenariat avec Axéréal et NatUp (lire page 18). Pour répondre de la manière la plus adéquate possible à ces demandes, elle préconise d’aller à la rencontre des clients dans leur pays,…
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