Pour le directeur de Soufflet Négoce, les cahiers des charges à l’export sont précis et techniques et laissent très peu de marges de manœuvre « si la tolérance est acceptée, elle peut-être punitive » d’où l’impérieuse nécessité de ne pas y déroger. À titre d’exemple, l’OAIC (l’Office algérien interprofessionnel des céréales) exige un PS de 78 avec un minimum accepté à 77 mais une réfaction de 2,10 dollars/tonne. Même coût du côté du Gasc égyptien pour une tolérance à 76 contre une exigence à 77.
Autre critère fort et marquant, le taux d’impuretés. Jean-François Lepy commente :
Exergue n°434498
Dans chaque cahier des charges, le chapitre sur les taux d'impuretés, c’est pas moins de deux pages de descriptifs. Sur la dernière campagne souvenons-nous…
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