La féverole s’incruste dans les rotations

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De gauche à droite : Pierre Fichet, agriculteur, Luc Bienaimé et Cédric Clochard, du négoce Lamy-Bienaimé, et Nicolas Pugeaux, du Naca. CP O;Lévêque/Pixel6TM
Enjeux agronomiques, environnementaux, mais aussi de relocalisation des protéines pour l’alimentation animale. Voici les raisons qui ont poussé les établissements Lamy-Bienaimé, situés dans les Deux-Sèvres, à renouer avec la féverole, presque oubliée dans le secteur.



Avec 300 hectares de féverole semés fin 2019 par 35 clients agriculteurs, le négoce Lamy-Bienaimé basé à Mauléon (79) mise sur la légumineuse dans son secteur du sud des Deux-Sèvres. Parmi les multiples atouts avancés : allonger les rotations et casser le cycle des adventices, évoque Cédric Clochard, référent technique de l’entreprise.

Exergue n°431586
« Ces dernières années, la féverole n’était plus cultivée chez nos clients céréaliers. Nous avions déjà accompagné la culture du pois protéagineux il y a cinq ans, stable autour de 600 hectares actuellement, mais nous souhaitions une autre légumineuse pour enrichir les rotations, d’où la féverole cette campagne. L’avantage de cette culture est qu’elle peut s’intégrer en complément d’un pois, tous les trois ans, à la différence d’autres légumineuses. Et contrairement au soja, la féverole d’hiver n’a pas besoin d’être irriguée. »


La féverole d’hiver a en effet…
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