« Du volontarisme et des investissements pour s’adapter à la séparation de la vente et du conseil »

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« On vit un moment charnière, mais comme le monde agricole en a déjà connu », souligne Éric Schlusselhuber. © Groupe Triangle
Instituée dans le cadre de la loi Egalim, la séparation des activités de conseil et de vente de produits phyto, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2021, va avoir un impact important sur les modèles économiques des acteurs de la distribution. Pour anticiper au mieux ce changement, Coop de France a commandité au Groupe Triangle, dans le cadre d’un projet Casdar, une étude économique et prospective sur le sujet. Éric Schlusselhuber revient pour nous sur les principales conclusions de l’étude.

Pouvez-vous nous expliquer le contexte de l’étude commanditée par Coop de France ?

Concrètement, Coop de France nous a demandé de mener une réflexion sur les différents scénarios possibles en matière d’adaptation structurelle des entreprises coopératives face à la séparation des activités de conseil et de vente de produits phyto, bien évidemment tout en restant conformes à la loi. Nous avons pour cela rencontré et échangé avec de nombreux responsables de coopératives, ce qui nous a permis d’identifier plusieurs solutions théoriquement possibles. Nous avons ensuite étudié les incidences de ces scénarios sur les résultats économiques. Notre but n’étant pas de donner une réponse clé en main,…
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