14 % de techniciens/expérimentateurs et 4 % de chercheurs), a permis de sonder leur perception des adventices.
Premier résultat : les effets positifs des adventices (sources de pollen pour les insectes, refuge pour les auxiliaires des cultures) ont moins d’importance aux yeux des sondés que leurs effets négatifs (perte de rendement, augmentation du stock semencier).
Dans ce travail, lancé en 2017 par le GIS GC HP2E (groupement d’intérêt scientifique grandes cultures à hautes performances économiques et environnementales), les adventices les plus citées comme problématiques sont le vulpin des champs (cité par 47,5 %), le ray-grass (pour 45,3 %), le chardon des champs (pour 42,6 %), la folle avoine (pour 17,5 %) et le gaillet gratteron (pour 16,2 %).
Autre résultat intéressant, la constitution de quatre groupes au sein des différents acteurs, avec des stratégies de désherbage différentes.
Groupe 1 : personnes très intolérantes à la présence d’adventices, qui désherbent tous les relevés de flore présentés, même ceux avec peu d’adventices ou ceux avec des…
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