Les arguments pour défendre le sulfoxaflor

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Dow a mobilisé ses équipes et un entomologiste afin de communiquer face aux pressions des apiculteurs sur le sujet du sulfoxaflor : Benoît Dattin, Frédéric Marque, Stéphanie Fournol et Raphaël Rouzes. © B. Phillipson/Pixel Image
Le 16 novembre, Dow a mobilisé ses équipes pour communiquer face aux pressions des apiculteurs sur le sujet du sulfoxaflor. Stéphanie Fournol, chef de marché, Frédéric Marque, responsable technique et Benoît Dattin, responsable communication, exposent leurs arguments.

D’ici 2050, les besoins alimentaires vont augmenter de 50%.

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«Préserver le potentiel de nos rendements devient vital, nous devons rester compétitifs, le sulfoxaflor est une réponse aux enjeux de l’agriculture de demain», indique Benoît Dattin, responsable communication chez Dow.


L’entreprise rappelle que la France est passée au rang de 3e producteur européen derrière la Pologne et l’Allemagne.

Rappelons que Nicolas Hulot et Stéphane Travert ont demandé fin octobre à l’Anses d’analyser les nouvelles données sur le sulfoxaflor afin qu’elle soit en capacité d’indiquer au Gouvernement, dans les trois mois, si elles sont de nature à modifier les deux AMM (Closer et Transform).

Dow a fait appel à un entomologiste indépendant, Raphael Rouzes, pour mettre en avant les ravages que les insectes piqueurs suceurs occasionnent dans les cultures.

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Pour l’expert, « il existe plus…
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