Surveillance organisée des effets indésirables des phyto

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La mutualisation des informations issues du dispositif de phytopharmacovigilance doit permettre à l’Anses d’adapter les conditions d’AMM des produits. Photo : N.Chemineau/Pixel Image
L’Anses a mis à profit l’année 2016 pour mettre en place le dispositif de phytopharmacovigilance prévu dans le cadre de la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt.

Le dispositif de phytopharmacovigilance vise à surveiller et détecter les effets indésirables des produits phytopharmaceutiques sur l’homme, les animaux d’élevage, les plantes cultivées, la biodiversité, la faune sauvage, l’eau, le sol, la qualité de l’air, les aliments et l’apparition de résistances à ces maladies.

L’Anses a œuvré, tout au long de l’année 2016, à la mise en place de ce dispositif. Il a notamment fallu constituer un réseau de surveillance. Neuf organismes participent désormais en mettant à disposition leurs données : Santé publique France, le centre François Baclesse (Caen), l’Institut technique et scientifique de l’apiculture et de la pollinisation (Itsap), l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), le Laboratoire central de surveillance de la qualité de l’air (LCSQA), ainsi que les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air, le Réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles (RNV3P), la Mutualité sociale agricole,…
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