« Les organisations doivent créer leur propre écosystème digital »

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« L’ancrage "agriculteur/conseiller" reste dans l’ADN de Smag et nous guidera pour les années à venir », affirme son CEO, Didier Robert. Photo : Smag
Depuis vingt ans, Smag conçoit des solutions numériques pour optimiser l’efficacité des pratiques culturales. Son CEO, Didier Robert, nous explique comment le digital peut encore, dans les années à venir, faire évoluer le métier de conseiller agricole, et pourquoi les organisations agricoles doivent entamer une réelle transformation digitale.

Depuis vingt ans, Smag accompagne la transformation digitale du monde agricole. Quel a été votre leitmotiv lors de ces deux dernières décennies ?

Didier Robert : MaFerme et Neotic, qui ont donné naissance plus tard à Smag, ont été deux acteurs ayant inventé le Web agricole en France, avec pour objectif de faciliter le travail des agriculteurs et de leurs conseillers (sur la gestion de leurs pratiques, de la traçabilité…). Nous nous sommes toujours positionnés au service de cette collaboration entre les agriculteurs et leurs conseillers, et c’est ce qui nous différencie de nos concurrents. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui a poussé le groupe InVivo à acquérir Smag. Cet ancrage « agriculteur/conseiller » reste dans notre ADN et nous guidera pour les années à venir.

Pensez-vous qu’au cours des prochaines années, l’usage…
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