Aux difficultés d’implantation des colzas, des blés, puis de certaines cultures de printemps, se sont ajoutées les évolutions réglementaires, comme la disparition des remises, des ristournes et des rabais, imposées par la la loi EGalim. Ce qui s’applique aux adhérents est également valable pour les fournisseurs, « ceci pose la question de l’efficience de nos centrales d’achat qui doivent faire preuve d’imagination ». L’autre grand sujet est la séparation de la vente et du conseil, obligatoire au 1er janvier prochain, mais dont les textes d’application viennent seulement d’être publiés et sont en cours d’expertise.
Le premier confinement, intervenu le 17 mars, a eu un impact considérable sur l’activité des différents métiers. La branche élevage a été directement touchée, avec la moindre mise à disposition d’animaux viande, du fait de la fermeture de la restauration…
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