« Le projet contient 4 lignes qui autorise le gouvernement à modifier les textes pour aller vers une séparation de la vente et du conseil, avec notamment une adaptation des CEPP », informe Pascal Viné, délégué général de Coop de France lors de la conférence de presse du 14 décembre.
Sans toutefois donner de date de sortie précise de cette ordonnance. Rappelons qu’il n’y aurait pas de conclusion sur ce sujet dans les États généraux de l’alimentation.
Coop de France prône une séparation physique qui permet de lever des ambigüités entre les deux activités. « Nous sommes attachés à ce que les coopératives continuent de conseiller car elles sont garantes de la bonne fin des cahiers des charges », évoque-t-il. Et Olivier de Bohan, vice-président de Coop de France d’ajouter : « Si on doit choisir, on choisira le conseil. Il est indispensable pour répondre aux attentes des consommateurs. »
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