États généraux de l’alimentation : l’international absent des débats

Le 24 novembre, le congrès de la FC2A a rassemblé près de 400 personnes. Le sujet des États généraux de l’alimentation (EGA) a été abordé avec les différents intervenants. Rappelons que le discours d’Emmanuel Macron prononcé à Rungis mi-octobre a clôturé le 1er chantier. Quels sont les avis de Sébastien Abis, Bruno Hot et Christophe Malvezin sur ces EGA ?

Sébastien Abis : «Combiner les circuits courts et l’international»

Pour Sébastien Abis, chercheur associé à l’Iris et directeur du club Demeter :

Exergue n°433704
«Les États généraux de l’alimentation sont un processus bienvenu dans le paysage de la compétitivité de la France et de la revalorisation de l’agriculture dans le pays. Néanmoins, on sent que l’international est marginalisé dans le discours global. Or l’agriculture française sera compétitive si elle combine les circuits courts et l’international. Sans circuits longs, il n’y a pas de sécurité alimentaire pour un grand nombre de pays.»



«L’agriculture française sera compétitive si elle combine les circuits courts
et l’international», évoque Sébastien Abis. @MarineBlanchardPhotographie


Bruno Hot : « Recréer de la valeur avant de pouvoir…